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Restauration de photographies anciennes

Restauration numérique à partir du document numérisé en haute définition.
Le travail est fait en tout respect du cachet d’époque de l’épreuve originale (de photographe inconnu)

Pour faire retoucher ou restaurer vos photographies, suivez ce lien.

Quelques étapes d’une restauration de photographie

J’ai fait cette restauration à partir d’une bonne numérisation, fournie par mon client, de l’épreuve abîmée d’une photographie ancienne.
Voici le document original et sa version restaurée (presque terminée), de même que le détail de quelques zones.

Voici ce en quoi consiste le travail, en général:
– Mise au bon format (en fonction de l’utilisation future)
– Ajustements de base usuels
– Dépoussiérage: ce dernier est finalisé «manuellement», les filtres anti-poussière pouvant provoquer des effets indésirables en éteignant les lumières les plus fortes dans les reflets (yeux, bijoux, étoiles, verre, métal, etc.)
– Correction des pâtés et des égratignures
– Correction des plaques de couleurs incongrues
– Création d’image là où il y a perte
– Cadrage

Tout cela en respectant le léger coloris, la luminosité et la texture de l’épreuve originale.

Pour faire retoucher ou restaurer vos photographies, suivez ce lien.

Sur le chantier

Mon «lieu de création» de la semaine.
Tranquillement, une trentaine de planches par jour.

Des nouvelles du chantier

Journées de ponçage:
– matin: joints
– après-midi: joints
– soir:… ongles!

Chantier

Encore sur le chantier avec les gars.
Ça s’en vient… sûrement, mais leeeentement.

Ménage de paperasse

Lorsqu’ils étaient petits, je notais les mots-valises et autres mots tordus de mes enfants:

musculé
pineu d’hiver
Walt dessiné
gronger
se lavonner le bec
ingénial
commémérer
de jour en aiguille
distordante
les ors rares de Montréal

Au musée

Ce matin, on a été au musée avec petit-fils voir l’expo d’Alexander McQueen.
Le plus grand intérêt a été le grand escalier. Debout, accroché aux doigts de maman et de grand-maman: monter la première volée de marches. Faire le clown sur le pallier. La redescendre. Remonter la 1e, la 2e et la 3e volée de marches. Redescendre la 3e, puis finir la descente par le gigantesque monte-charge doré rempli d’un autobus d’écolier. C’était chouette! (l’expo aussi).

(crédits photos: Bruce Damonte et Félix Michaud pour le MNBAQ)

Sur le plateau de Social Tango Project

Le superbe spectacle de la troupe de danseurs, chanteurs et musiciens argentins Social Tango Project se tenait lundi soir à la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec. Ce fut un immense plaisir pour moi d’explorer le plateau pendant la préparation des artistes.

Prises de vues depuis les coulisses du côté jardin
Depuis l’arrière-scène, derrière le décor

En marge du spectacle de Social Tango Project : la milonga!

La milonga, organisée par l’association Tango Québec, précédait le spectacle de la compagnie Social Tango Project.
Elle se tenait dans le foyer du Grand Théâtre de Québec, au pied de la monumentale fresque de l’artiste muraliste Jordi Bonet.

Tango Québec rejoint Social Tango Project sur scène

Le temps d’un numéro, quelques danseurs de l’association Tango Québec ont rejoint lundi dernier la compagnie argentine Social Tango Project sur les planches de la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec.
Les voici tous en répétition sous la direction de Agustina Videla.

La vraie cabane à sucre

Par monts et par vaux nous sommes venus des quatre points cardinaux. Au bout des rangs, au cœur de la forêt de feuillus, en bas de la grande côte, au bord de la rivière rugissante des fontes d’avril, une clairière boueuse. Et une belle cabane fumant la fumée de bois et la vapeur d’eau d’érable.

C’est la traditionnelle et très artisanale partie de sucre chez l’ami Claude. La parenté, et la parenté de la parenté, et les amis, et les amis des amis, nous voilà, trois ou quatre générations de pas trop sérieux à se raconter notre année, à gentiment mettre à jour les potins, à discuter légèrement et à rigoler ferme au soleil. Les vieux, les grands et, surtout, les petits et le chien, à patauger dans la bouette avec joie.

Steve gère l’évaporateur, Fred pile de la belle neige blanche sur les tréteaux, la tire sera prête à 14h.
Un peu de rhum dans le réduit bouillant, en attendant.
Puis de la tire à volonté, jusqu’à la nausée.

Retour en ville avec notre précieuse cargaison du meilleur sirop d’érable de la région.
Merci et salut, on se voit en avril prochain!

L’armistice

Le jour de l’armistice, je pense à Roger Riverin, feu-mon beau-père.
 
On le voit ici (le premier à gauche) avec ses camarades, volontaires comme lui, juste avant de monter dans le train pour aller gagner la dîme qu’ils enverront à la maison. De sa compagnie du Régiment de Maisonneuve, il ne reviendra qu’une poignée d’hommes en très mauvais état. Roger a été plus chanceux, il n’y a perdu aucun morceau, ni sa bonté.
 
Salut Roger!
 
Photographie d’un auteur inconnu que j’ai restaurée à partir de l’épreuve sur papier glacé (3 po. x 5 po.) datant des années 1940.
 

Retouche et restauration photographique

Cette photo provient d’une agence de mannequins des années 1960-70.
 

En l’absence de négatif, j’ai préalablement digitalisé en haute résolution l’épreuve argentique originale (11 po. x 13 po., sur papier photo), très abimée.

La restauration a nécessité les opérations suivantes: ajustements, dépoussiérage, réparation des égratignures, des déchirures et des taches, reconstruction des zones manquantes, etc., en respect du caractère original de la photographie.
 
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Le tango de Claude

Photographie de plateau pour le court métrage Le tango de Claude, réalisé par Romy Boutin Saint-Pierre.
Tournage-03

Yeux bleu ciel

Les mômes de la famille ont décliné un beau camaïeu d’yeux bruns. Olive, noisette, chocolat au lait, espresso, jusqu’à l’hypnotisant noir d’abîme.
Mais hop là, le petit dernier les as bleus.
C’est comme regarder dans le ciel…

Le golf dans le bois

Cinq moussaillons, quatre bâtons, sept (vraies) balles, on s’initie au golf, dans le bois.
Tout en évitant que la chicane ne prenne pour LA balle orange, ou que les moulinets et autres courbes imprévues de balles et de bâtons ne se terminent sur un nez ou un derrière de tête, j’ai fait un petit reportage.
À la fois comique, sportif et… périlleux!
 
Aucun accident, manque peut-être une balle ou deux…
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Couronnement

Les yeux exorbités, «MA SŒUR, EEEEELLE A L’AIME ÇA LES BONBONS!!!», disait mon grand frère quand on était p’tits.
Ah la la, quand craque ton casse-noisette, ta 47, ta broyeuse majeure, la gardienne du calage postérieur de ta mandibule…
C’était ce matin le couronnement définitif. Une interminable cérémonie de plus de trois heures, pour un beau total de 10h30 de dentisterie extrême échelonné sur des semaines.
La reine est morte, vive la reine!
Je me suis vengée en bouffant un bébé-frite/ketchup de la Peltrie en écoutant Mahler pas de bonne humeur.

Banc voyageur

Dans l’intermède entre son départ de chez Jean et… son retour chez Jean, l’antique banc de piano à pattes d’aigles a été pensionnaire chez moi pendant plusieurs années, où il a vécu bien des partys. Je suis heureuse qu’il ait maintenant retrouvé sa maison chez m’sieur Painchaud!

(crédit photo: Éloi Painchaud)

 

Les mots du Goglu

Virus de garderie, tempêtes: trois mois sans voir les oisillons.
Après quelques secondes dans la lune, petit Goglu, trois ans et demi, dit : «Grand-papa, ta maison est trop loin, on peut la mettre plus proche?».

Minute nostalgie

Quand j’étais petite, au temps des parades du Carnaval en famille, je rêvais de devenir majorette. J’avais reçu en cadeau des petites bottes à gogo, blanches avec le zip à l’arrière. Et une imitation du fameux bâton que je me suis férocement acharnée à faire tourner entre mes doigts, comme une «vraie». Mais bon, pas très longtemps, j’ai vite compris que c’était un fiasco.

Je n’ose imaginer ce que ma vie serait devenue s’il en avait été autrement. Je me contente de parfois faire tourner mes crayons de couleurs entre mes doigts lorsque l’inspiration est en suspens et ça, ça fonctionne très bien.