Encore sur le chantier avec les gars.
Ça s’en vient… sûrement, mais leeeentement.
Lorsqu’ils étaient petits, je notais les mots-valises et autres mots tordus de mes enfants:
musculé
pineu d’hiver
Walt dessiné
gronger
se lavonner le bec
ingénial
commémérer
de jour en aiguille
distordante
les ors rares de Montréal
Ce matin, on a été au musée avec petit-fils voir l’expo d’Alexander McQueen.
Le plus grand intérêt a été le grand escalier. Debout, accroché aux doigts de maman et de grand-maman: monter la première volée de marches. Faire le clown sur le pallier. La redescendre. Remonter la 1e, la 2e et la 3e volée de marches. Redescendre la 3e, puis finir la descente par le gigantesque monte-charge doré rempli d’un autobus d’écolier. C’était chouette! (l’expo aussi).
(crédits photos: Bruce Damonte et Félix Michaud pour le MNBAQ)
Le superbe spectacle de la troupe de danseurs, chanteurs et musiciens argentins Social Tango Project se tenait lundi soir à la salle Louis-Fréchette du Grand Théâtre de Québec. Ce fut un immense plaisir pour moi d’explorer le plateau pendant la préparation des artistes.
La milonga, organisée par l’association Tango Québec, précédait le spectacle de la compagnie Social Tango Project.
Elle se tenait dans le foyer du Grand Théâtre de Québec, au pied de la monumentale fresque de l’artiste muraliste Jordi Bonet.
Par monts et par vaux nous sommes venus des quatre points cardinaux. Au bout des rangs, au cœur de la forêt de feuillus, en bas de la grande côte, au bord de la rivière rugissante des fontes d’avril, une clairière boueuse. Et une belle cabane fumant la fumée de bois et la vapeur d’eau d’érable.
C’est la traditionnelle et très artisanale partie de sucre chez l’ami Claude. La parenté, et la parenté de la parenté, et les amis, et les amis des amis, nous voilà, trois ou quatre générations de pas trop sérieux à se raconter notre année, à gentiment mettre à jour les potins, à discuter légèrement et à rigoler ferme au soleil. Les vieux, les grands et, surtout, les petits et le chien, à patauger dans la bouette avec joie.
Steve gère l’évaporateur, Fred pile de la belle neige blanche sur les tréteaux, la tire sera prête à 14h.
Un peu de rhum dans le réduit bouillant, en attendant.
Puis de la tire à volonté, jusqu’à la nausée.
Retour en ville avec notre précieuse cargaison du meilleur sirop d’érable de la région.
Merci et salut, on se voit en avril prochain!
En l’absence de négatif, j’ai préalablement digitalisé en haute résolution l’épreuve argentique originale (11 po. x 13 po., sur papier photo), très abimée.
Dans l’intermède entre son départ de chez Jean et… son retour chez Jean, l’antique banc de piano à pattes d’aigles a été pensionnaire chez moi pendant plusieurs années, où il a vécu bien des partys. Je suis heureuse qu’il ait maintenant retrouvé sa maison chez m’sieur Painchaud!
(crédit photo: Éloi Painchaud)
Mon troisième petit-fils est arrivé sans encombre à la vie.