L’armistice

Le jour de l’armistice, je pense à Roger Riverin, feu-mon beau-père.
 
On le voit ici (le premier à gauche) avec ses camarades, volontaires comme lui, juste avant de monter dans le train pour aller gagner la dîme qu’ils enverront à la maison. De sa compagnie du Régiment de Maisonneuve, il ne reviendra qu’une poignée d’hommes en très mauvais état. Roger a été plus chanceux, il n’y a perdu aucun morceau, ni sa bonté.
 
Salut Roger!
 
Photographie d’un auteur inconnu que j’ai restaurée à partir de l’épreuve sur papier glacé (3 po. x 5 po.) datant des années 1940.
 

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