Restauration numérique à partir du document numérisé en haute définition.
Le travail est fait en tout respect du cachet d’époque de l’épreuve originale (de photographe inconnu)
Pour faire retoucher ou restaurer vos photographies, suivez ce lien.
J’ai fait cette restauration à partir d’une bonne numérisation, fournie par mon client, de l’épreuve abîmée d’une photographie ancienne.
Voici le document original et sa version restaurée (presque terminée), de même que le détail de quelques zones.
Voici ce en quoi consiste le travail, en général:
– Mise au bon format (en fonction de l’utilisation future)
– Ajustements de base usuels
– Dépoussiérage: ce dernier est finalisé «manuellement», les filtres anti-poussière pouvant provoquer des effets indésirables en éteignant les lumières les plus fortes dans les reflets (yeux, bijoux, étoiles, verre, métal, etc.)
– Correction des pâtés et des égratignures
– Correction des plaques de couleurs incongrues
– Création d’image là où il y a perte
– Cadrage
Tout cela en respectant le léger coloris, la luminosité et la texture de l’épreuve originale.
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En l’absence de négatif, j’ai préalablement digitalisé en haute résolution l’épreuve argentique originale (11 po. x 13 po., sur papier photo), très abimée.
Passée la petite enfance, j’ai eu peu de contacts avec l’homme de carrière qu’était mon paternel. À son décès, il y a bientôt dix ans, il a laissé nombre de collections inimaginables. C’était un «gardeux»!
C’était un homme qui voyageait et photographiait beaucoup, depuis bien avant ma naissance. Je viens d’entamer la première des CAISSES de diapositives Ektachrome, bien cordées et en bon état (bien que souvent sans mention des lieux). Je suis forcée de constater qu’il a photographié jadis, et un peu de la même manière, les mêmes sujets que moi aujourd’hui.
Tiré des mémoires impressionnantes de ma bisaïeule Léontine:
Je suis la Lionne,
La Lionne au cœur d’or,
En Dieu je pardonne,
Et je fais du bien
À qui me fait tort,
Mais JE ME SOUVIENS
Extrait de
«Vains regrets, du journal de La Vie de L. B. Mallette»
Juillet1923
D’autres textes dans son carnet d’écriture
Il arrive qu’en l’absence du tirage ou du négatif d’origine, tout ce qui reste d’une photographie est son épreuve montée sur un badge celluloïd. Communément appelé macaron, le pin-back button, breveté à la fin du XIXe siècle aux États-Unis, est un procédé par lequel une image sur papier est scellée sous presse entre un film celluloïd et un bouton de métal circulaire et convexe. Très peu dispendieux, le procédé eut une certaine popularité au milieu du siècle dernier.
Le travail était ici de photographier les macarons, puis, après quelques retouches à l’image, de les composer numériquement en format carré imprimable.
Je restaure présentement des photographies (d’auteur inconnu) datant de 1949-1950, à partir de négatifs noir et blanc 2 1/2″ x 4 1/4″ très abimés.
C’est passionnant!
Les ingénieurs créent des routes dans l’arrière-pays du Québec. On les dépose dans la forêt avec leurs équipes et leurs outils, avec leurs tentes, leurs vivres, leurs gamelles, leurs raquettes et leurs chiens…
Ici, l’équipe d’arpentage et de tracé des routes (Côte-Nord, entre Baie-Comeau et Hauterive), est transportée par le bimoteur Toulnoustouk du Canadian Pacific Airlines.
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