Retouche et restauration photographique

Travail zen, j’adore ça!

En photographie, comme en musique, en ébénisterie, ou en beauté des visages, la retouche et la restauration de pièces anciennes est un travail de minutie, auquel s’ajoute la question périlleuse de «savoir jusqu’où aller». Comme en musique, en ébénisterie, ou en beauté des visages, deux tendances s’opposent : d’un côté, les tenants de la «perfection plastique», de l’autre, ceux qui préfèrent laisser aux œuvres leur facture d’époque.

Il y a bien les modes, mais il n’y a pas de règles, ni de recettes établies. Ainsi, au-delà de sa capacité à manier des outils informatiques hyper performants, c’est la sensibilité du restaurateur qui le guide et qui le définit. Personnellement, je suis «pour» le sépia, «pour» la patine du vieux bois, «pour» le crépitement d’un vieux vinyle, «pour» les pattes d’oies aux coins des yeux…

Voici un exemple de restauration «éthique»:
Photographie d’auteur inconnu datant des années 20, version originale digitalisée suivie de la version restaurée.
En l’absence de négatif, j’ai restauré la mini-épreuve argentique (1 1/2 po. x 2 1/2 po., sur papier glacé) que j’ai préalablement digitalisée en haute résolution.
Le fichier ainsi restauré peut mesurer jusqu’à 10 po. x 6 po. à une résolution de 350 pixels par pouces.

Pour faire restaurer vos photographies, suivez ce lien.

Restauration-01

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