Pour se rendre au ruisseau, il faut d’abord suivre le sentier boueux, puis traverser le pré jaune.
On arrive ensuite chez les très épineux aubépines et faux-mûriers. Enchevêtrements gris et rouges, l’air inoffensif de bon voisinage qu’ils ont en plein soleil, bordés des froufrous automnaux de verges d’or et d’asters bien mûrs!
Mais il faut aller plus loin et risquer quelques accrochages pointus dans l’ombre du sous-bois.